_J'ai acheté le bâtiment principal en juillet 1994
- (voir docs 1&2). C'est la seule maison particulière
dans Bordeaux en bord de Garonne, elle éveille bien
des convoitises.....
_Tant que j'ai eu affaire au
port autonome, je n'ai jamais eu de problèmes côté bailleur.
_La société EIFFAGE,
servie par son sous-marin, la société "SNC les jardins des quais",
passe le 21 décembre 1999 un contrat pour une durée de 70 ans avec le port
autonome de Bordeaux concernant les hangars 14 à 19 de Bordeaux. Pour
aménager ces locaux, la SNC touche plus de 4.500.000 €.
_Le 31 décembre 2001, par un
contrat nommé « Avenant n°2 » la SNC se voit gratifiée de la surface
allant du hangar 19 aux écluses. Cette société, toujours soucieuse de réjouir
ses actionnaires, m'envoie un courrier contenant un bail de sous location du
terrain nu, dans lequel il est dit que ce document m'est envoyé en double
exemplaire, et d'en renvoyer un signé. Le détail, est qu'il n'y a qu'un
exemplaire dans le courrier, et que ce contrat, si je le signais, m'engageait à quitter mes lieux 9 mois après. Bien
sûr, je ne renvoie rien, nous allons voir plus loin que ce "document"
est pris en compte par le tribunal, et sera déterminant dans ma condamnation.
Pour information, la SNC perçoit mes loyers depuis 6 ans.
_Une société en négoce de pneus est
reconduite en ses locaux par la SNC, et un décorateur est, lui, installé par la
SNC dans ses locaux, à la même époque.
_Inquièté par un article publié dans
Sud-Ouest qui montrait une photo de mon atelier en disant que le futur pont de
Bordeaux passerait entre Cap sciences et mon bâtiment, j'ai écris le même jour,
plusieurs lettres AR à Monsieur Juppé qui me répondit avec une pointe d'humour
que les travaux passeraient loin de chez moi - (voir doc 3) . Au passage, il était dit dans cette lettre
que je n'avais plus comme interlocuteur que la SNC.
_Maintenant, nous allons
voir le déroulement des opérations de captation de bien montées par la
SNC :
1°/ Demande d’expulsion via le PA (port
autonome) par voie de référé de deux des « intéressés » pour,
je cite : « libérer l’emprise du domaine public en raison
des nouvelles contraintes que vont engendrer les travaux du
tramway » ; nous voyons ici que le PA, organisme d’État, se met au
service d’un privé contre un autre privé, il prend de ce fait, cause, et parti
pris, pour l’un contre l’autre, a-t-il été rétribué pour déléguer
ses agents ? si c'est le cas, une facture aurait dû être délivrée,
je serai curieux de voir ce document........... Il prend à l’occasion une
déculottée dont les contribuables font les frais (2 X 800€, voir doc 4 ).
2°/ Le 23 février 2005, la SNC, pose (sans prévenir
ses locataires) à la Mairie de Bordeaux un permis de démolir toutes les
constructions concernant l’avenant n°2 (y compris mes bâtiments) (voir doc 5), on voit en cette occasion que cette
société ne manque pas de souffle, et se comporte à Bordeaux, comme dans une
république bananière. L’autorisation était en voie de
délivrance, quand les intéressés (si l’on peut dire)
après s'être groupés, ont été reçus à la Mairie de Bordeaux par
Monsieur DUCHENE, Adjoint au Maire; celui-ci après être venu sur place visiter
les lieux, a décidé de refuser le permis de démolir (voir document 6 & 7). Le
renard, honteux et confus n’a pas besoin de jurer qu’on ne l’y reprendrait
plus, car ces bâtiments sont maintenant sous haute surveillance de gens bien-intentionnés.
Mais il ne désespère pas, en bon Goupil, de me déposséder de mon bien.
3°/ Suite à cette affaire, EIFFAGE s’engage auprès
de la Mairie de Bordeaux à faire des propositions de dédommagement aux
2 locataires du terrain et moi, propriétaire de mes locaux (voir doc 7a ). Monsieur Ferrasse est délégué pour
traiter, les deux locataires acceptent chacun une proposition, votre serviteur,
ne s’estimant pas satisfait, refuse. Les personnes ayant accepté les sommes
promises, les attendent toujours……_Puis, interviennent 2 rétrocessions successives pour le plus grand bien de chacun des intervenants (quelle foire d'empoigne !!!!!) : Cliquez ici
4°/ Le PA, toujours aux ordres, fait dresser à mon
encontre, une contravention de grange voirie, (alors qu'il n'avait que 10 jours
calendaires pour refuser la sous location à une personne qui ne lui
conviendrait pas (voir doc 7b), devinez à qui profite la démarche
!!!!! à la suite de quoi, tous les gens cernés sont condamnés le 15 mars
2007 à quitter les lieux sous 8 jours avec astreinte de 100€ par jour de retard
à compter du huitième suivant la notification du jugement. Il est à noter au
passage, que cette somme est absorbable par une société ayant les reins
solides, mais certainement pas par un particulier.
_Différents points sur lesquels la justice
(qui se doit d'être aveugle) a respecté cet engagement :
1°/ Mes bâtiments,
à contrario du code civil, n'appartiennent pas au possesseur du
sol ; les juges ne précisent en aucune façon le devenir de mes biens
dans leur jugement.
2°/ L'agent du port autonome préposé au service de la SNC
dépose faussement noir sur blanc avoir constaté que j'occupais les lieux
(voir doc 8 ),
ni lui, ni moi ne nous sommes entrevus, ce que le
tribunal admet sans sourciller (voir doc 9
), la pierre angulaire de ce procès est donc un faux, l'agent, un
parjure, mais l'affaire continue comme si de rien n'était. Pour faire bonne
mesure, le tribunal, dans sa grande sagesse, admet que si les documents ne
sont pas exacts (doux euphémisme) cela ne change
rien, et qu'à partir du moment où un torchon de : parjure, parti pris,
prise de position indigne d'un agent assermenté est établi, le tribunal, au vu
de ce document n'a plus qu'à jeter les gens à la rue (voir doc 10).
3°/ Il est dit dans le jugement que le procès qui
m'est intenté sert à récupérer les sommes dont le trésor a été frustré (voir
doc 11). Si le trésor a été frustré, c'est que la
SNC n'a pas payé, alors que je paie régulièrement mon loyer, documents fournis
à l'appui dans ma défense, je ne vois pas en quoi cette phrase me regarde.
Vous vous dîtes qu'il y a un truc qui cloche, et bien non, car si le juge prend
en considération la contravention de grande voirie (qui sert
à protéger les intérêts de l'État, et non ceux d'un
particulier), il est obligé, s'il juge coupable la personne mise en cause, de
demander réparation au profit de l'État ; cela prouve de
façon implacable que la contravention de grande voirie a été dévoyée, et
qu'elle aurait dû être rejetée, en premier lieu, par le préfet, puis par le
juge.
4°/ 14 lignes s'étendant sur un contrat de
sous location qui a été proposé par la SNC non paraphé à ma signature, ce, à
exemplaire unique, je n'ai bien sûr pas renvoyé ce document qui a été
pris en considération par le juge pour me condamner, alors qu'il n'a été signé
par aucune des deux parties.....(voir doc 12 ).
-o-o-o-o-o-o-o-o-o-
_J'ai envoyé
plusieurs courriels à Monsieur Borloo, le dernier(voir copie
13 ), afin de l'informer que j'allais traduire _devant
Monsieur le Procureur de la République en premier lieu, puis, devant le
Tribunal correctionnel en me constituant partie civile auprès de Monsieur le
Doyen des Juges d'instruction du parquet de Bordeaux_ , le fonctionnaire qui
a rédigé le mémoire en défense, car celui-ci a réussi à faire refuser ma demande
de sursis à exécution sous 8 jours à vider les lieux, en le truffant d'élucubrations
de tous calibres. _L'aventure continue, j'ai bien l'intention de leur en faire
baver, et je ne manque pas d'imagination !!!!!!!!!!!!!!
_Il paraît que l'immobilier flambe en ce moment,
j'espère que ce ne sera pas mon cas...........
_Il est à noter que les deux personnes mises en
cause en même temps que moi ont subi le même traitement.
_Je ne manquerai pas de vous tenir au courant du
développement de cette affaire dans un petit journal, cliquez ici pour y parvenir
.N'hésitez pas à diffuser largement autour de
vous, il ne faut pas se priver d'un bon moment........
Auteur : Jean De la Fontaine
_Si vous avez un tuyau pour me dégager de ce
traquenard, n'hésitez pas à me contacter.
_Si vous désirez me soutenir, vous pouvez
contacter diverses autorités afin de laisser vos impressions,
voici les référence à rappeller :
Jugement du Tribunal Administratif de Bordeaux
n°0601821 du 15 mars 2007
Monsieur le Président de la République : Cliquez ici dans l'onglet,
choisir "justice".
Monsieur le Premier Ministre : Cliquez ici
Ministère de la justice : Cliquez ici
Monsieur le Maire de la ville de Bordeaux : Cliquez ici
_Page traitant de mon affaire dans un site spécialisé dans la dénonciation de scandales : Cliquez ici
_Le Webmaster du Flambeau a eu la gentillesse de faire un reportage de cette histoire : Cliquez ici
Le plus rigolo est que, suite à la diffusion de ce
reportage, j'ai écris dans le forum de la mairie de Bx pour signaler ce
document, le modérateur m'a répondu noir sur blanc, que c'est la mairie
qui est à l'origine de cette tentative d'éviction, alors que cette opération
n'est pas reconnue d'utilité publique, comme quoi les intérêts privés d'EIFFAGE
sont épaulés dans leurs démarches essentiellement mercantiles dans au moins
trois affaires à Bordeaux et environs : Cliquez ici , voir : Façons de faire signées EIFFAGE , ainsi que 3 lignes plus bas "_Au sujet du tramway de Bordeaux" .
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_Quand on voit ce qui se passe en France, ce n'est pas
joli/joli, et ce n’est pas rassurant pour ce qui concerne le devenir de mon
affaire !!!!!! Les voyous en cols blancs ne se cachent même plus, voir ci-dessous :
_Au sujet du tramway de Bordeaux, voir aticle de CQFD : Cliquez ici
_Concernant les discrètes rétributions de gens bien placés : Cliquez ici
_Extrait de l'Express : Cliquez ici
_Extrait de Bachich.info : Cliquez ici
_Affaire Ferraye : Cliquez ici
_Particulier contre maffia : Cliquez ici
_Dossier Armenante : Cliquez ici
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